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Publié le lundi 4 juillet 2016
Evidemment, le succès passe par la satisfaction du client. Plus personne ne doute que la qualité de la relation client-fournisseur dépend du traitement des détails. Détails ou pas, voici quelques exemples avant-coureurs observés lors des formations et du conseil donné en entreprise, lorsque la qualité ne répond pas aux attentes :
ARIAQ dans ses formations met l’accent sur ces points et encore bien d’autres car un coût parfois élevé de production devient insupportable lorsque la qualité ne répond pas aux attentes.
Publié le mercredi 1 juin 2016
Si l’été est la saison des sports, ce mois de juin sera évidemment celui du foot. Mais finalement, la « planète foot » peut-elle nous aider à améliorer nos produits, nos services, nos prestations ? Oui si l’on en croit les quelques citations du célèbre et regretté Johan Cruyff :
«Jouer au football est très simple, mais jouer simple au football, c’est la chose la plus difficile qui existe.»
«Dans mes équipes, le gardien est le premier attaquant, le buteur le premier défenseur.»
«La qualité sans les résultats est inutile. Les résultats sans la qualité sont ennuyeux.»
La simplicité dans l’action, le besoin de penser autrement et la volonté de toujours faire mieux en soignant la manière caractérisent les bonnes équipes de foot, mais pas que…
Publié le dimanche 1 mai 2016
Qui a dit :
« Au collège j’ai échoué 3 fois. J’ai répondu 30 fois à des offres d’emploi mais j’ai toujours été rejeté. Lorsqu’une chaîne internationale s’est implantée dans mon pays, nous étions 24 candidats à postuler pour une place, je fus le seul à être rejeté. J’ai voulu travailler dans la police mais de tous les candidats je fus le seul à ne pas être accepté. A 10 reprises j’ai postulé pour suivre des cours à Harvard University mais je n’ai pas été pris » ?
La personne à qui tous ces déboires sont arrivés n’est autre que Jack Ma, créateur du site Alibaba, aujourd’hui 22ème fortune mondiale pesant 29.8 milliards de dollars.
Sans surprise, la devise de M. Ma : Ne jamais renoncer parce qu’on a échoué une fois…
Publié le mardi 5 avril 2016
Tout le monde en a parlé. La 4ème révolution industrielle va faire disparaître des millions d’emplois.
Doit-on pour autant craindre ou freiner l’innovation ? Bien sûr que non. Si nous n’innovons pas, d’autres le feront à notre place et c’est bien grâce à l’innovation que de nouvelles places de travail pourront voir le jour. Par contre, il devient évident que l’innovation amène souvent un changement profond dans la manière de travailler.
Grâce à la technologie, la tendance est au partage. On partage les voitures, les appartements, les places de travail, l’information, les idées et bien sûr le travail lui-même. Les Etats-Unis s’apprêtent à voir plus du 40% des travailleurs offrir, d’ici 2020, des services « à la carte ». Cela fera tout de même plus de 60 millions de personnes qui travailleront en fonction des opportunités à leur disposition et aussi de leurs propres priorités.
La technologie va permettre de savoir toujours plus vite qui a besoin de quoi et qui peut servir qui. Les Uber, AirBnB et autres Alibaba ne pourront que difficilement être arrêtés. Par contre, des domaines aujourd’hui moins exposés comme l’architecture, la santé, le droit, ou le marketing verront aussi apparaître de nouveaux « entrepreneurs ». Manifestement et heureusement l’élément central de tout ce développement reste celui des compétences offertes liées à une qualité de service irréprochable. Dans ce contexte, la formation continue ne sera plus une option mais une évidence.
Publié le mardi 1 mars 2016
La notion de « FIT » devient de plus en plus tendance. De la montre « Fit-bit » au « Cross-Fit » en passant par l’incontournable FIT-Food, le mot FIT n’a jamais été aussi vendeur. Aujourd’hui on a l’impression qu’il suffit d’ajouter le mot FIT à un concept, un service, un produit pour qu’ils répondent aux exigences du client. Un peu trop facile.
Le monde de la qualité n’est pas épargné par le phénomène. Les gurus les plus avancés parlent aujourd’hui de « FIT Sigma Technology ». L’objectif du FIT Sigma est d’identifier les activités spécifiques devant ne pas dépasser un niveau de 3.4 erreurs par million d’opportunités. Cette approche amène à se concentrer sur les bonnes priorités en se focalisant sur les caractéristiques essentielles de la qualité. En soi l’idée est excellente mais fallait-il vraiment tomber dans le « FIT-fait » ?