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Publié le mardi 6 décembre 2016
Piloter une production basée sur de faibles volumes tout en offrant un haut niveau de diversité de produits représente un réel défi organisationnel. En Suisse, l’industrie ne peut bien souvent pas proposer des hauts volumes de production par contre elle se doit de flexibiliser son offre par un « high mix low volume » correspondant aux attentes de plus en plus spécifiques des clients.
Cette flexibilisation idéale d’un point de vue marketing cache des obstacles opérationnels pas toujours évidents à traiter : gestion de la variabilité de la demande, gestion des stocks intermédiaires, prise en compte du niveau qualité des nombreux composants, détermination de la taille optimale des lots, gestion des contraintes, gestion du produit dès sa conception (gestion des articles et des nomenclatures, diversification retardée), etc.
Soutenir une production dans un environnement complexe est bien le but de plusieurs formations ARIAQ :
La formation Lean Manager répond aux défis d’un environnement de production à faible volume
Les modules de formation logistique mettent l’accent sur les flux et la gestion de ceux-ci
Publié le mercredi 2 novembre 2016
Les experts en management se rejoignent sur un point : l’agilité de l’organisation est une clé de sa pérennité. Si les exemples qui corroborent dans ce sens sont nombreux, le contrôle et la gestion de l’agilité ne va pas de soi. Pourtant une tendance se dégage. En effet, l’utilisation de méthodes telles que les plans d’expériences (ou DOE, design Of Experiments) ou plus largement de planification anticipée de la qualité ( ou QbD, Quality By design) identifie concrètement les activités clés assurant une plus grande rapidité du développement du produit tout en tenant compte des besoins des clients et ceux de l’organisation.
En une dizaine d’années le temps nécessaire pour concevoir un produit a été divisé par deux passant d’une moyenne de 48 mois à 24 mois notamment dans le domaine de l’automobile. Cette réduction ne peut évidemment pas se faire au détriment de l’intégration d’innovations et de nouvelles technologies répondant aux attentes des consommateurs en matière d’usage, de sécurité, de confort et de protection de l’environnement.
Parler de qualité en conception, c’est :
Cet objectif ne peut pas être atteint uniquement par la conception d’un prototype ou des tests de fiabilité. La connaissance et la compréhension des risques possibles et de leurs mécanismes s’avèrent nécessaires. ARIAQ permet grâce à ses formations d’acquérir les compétences pour lier durablement qualité, innovation et agilité de développement.
Qualité en conception (Quality by Design)
Publié le mardi 4 octobre 2016
Peut-on penser qualité sans innovation ou innovation sans qualité? Probablement pas. Même si l’innovation, par exemple, est devenue une sorte de religion : innover ou mourir. Le succès d’une organisation est souvent lié à sa capacité à innover et l’échec à son incapacité à créer de nouveaux produits. Mais les choses ne sont pas si simples puisque beaucoup d’organisations créent de nouveaux produits sans pour autant avoir du succès.
L’innovation qualitative est celle qui parfois perturbe ou dérange car elle appelle une transformation profonde de l’existant. Dès lors, faut-il encore écouter ses clients ? Beaucoup de managers pensent que leurs clients ne savent pas ce qu’ils veulent jusqu’au moment où on leur montre ce qu’ils peuvent avoir. Compter sur ses clients pour nourrir son processus d’innovation semble dès lors bien risqué.
Si la gestion de la qualité demande de la rigueur, la gestion de l’innovation permet certainement une plus grande souplesse. Ainsi la mise en œuvre de l’innovation se caractérise par un choix d’outils pouvant être adaptés à chaque activité.
Publié le dimanche 4 septembre 2016
Comme tout le monde le sait, la norme ISO 9001 a été en partie repensée en octobre 2015. Parmi les nouveautés on pourrait citer l’importance accordée à la gestion des interfaces. Chez ARIAQ depuis plus de 10 ans nos formations ont mis l’accent sur l’importance de la gestion des interfaces. Cette gestion est délicate à traiter dans la mesure où les services qui représentent bien souvent des interfaces se positionnent entre le fournisseur et son client. Et le constat est clair : les interfaces ont tendance à gonfler. En 2015, 90% des créations d’emplois provenaient des services. En Europe, plus de 70% de l’activité économique provient des services.
Pour répondre à cette évolution, ISO a publié plus de 700 normes qui s’appliquent à des services spécifiques. Pourquoi autant de normes ? Parce que le secteur des services a aussi besoin d’établir de bonnes pratiques et d’encourager une qualité qui se veut optimale et durable. La confiance entre producteur de services et consommateur représente un élément essentiel de la pérennité recherchée par les organisations. Même si les normes semblent uniformiser le traitement des besoins, dans la réalité il en va tout autrement. L’optique d’un traitement personnalisé des besoins reste l’objectif ultime des systèmes de management orienté « services ».
Publié le jeudi 4 août 2016
Les chaleurs de l’Eurofoot ont révélé quelques surprises qui nous rappellent que l’Excellence ne suit pas toujours par une ligne droite.