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Publié le lundi 2 octobre 2017
Les pratiques de l’industrie pharmaceutique peuvent parfois faire progresser l’ensemble des autres organisations. En effet, pour les « pharma », le processus du traitement des actions correctives et préventives représente bien souvent le cœur même de leur système de management voire le fil conducteur de l’Excellence opérationnelle.
Le constat est donc clair: Les actions correctives ou préventives peuvent toucher toutes les activités essentielles: les réclamations, le choix des indicateurs, les audits, les fournisseurs, l’équipement, la gestion des changements, la gestion de la documentation, la gestion des compétences et les plans de formation. Malheureusement le traitement du non-conforme n’est souvent pas considérer comme une source d’améliorations mais plutôt comme une punition. Dommage car la voie de l’amélioration n’est en rien une punition.
Publié le lundi 4 septembre 2017
Il y a tout juste deux ans, l’organisation ISO lançait une nouvelle version de sa norme managériale. Très vite, les organisations ayant adopté ce standard ont réalisé qu’elles faisaient désormais face à bien plus qu’une norme. ISO 9001 est devenu après plus de 20 ans un remarquable recueil de bonnes pratiques. Petite ou grande, privée ou publique, toute organisation peut bénéficier des « conseils » (ou des exigences à remplir pour ceux qui veulent être certifiés) proposés par ce référentiel.
Mais en quoi la norme ISO 9001 est-elle si différente aujourd’hui ? Voici quelques éclairages :
Cette liste loin d’être exhaustive permet de se faire une bonne idée des orientations hautement profitables de la norme ISO 9001. Mais dans quel camp êtes-vous ? Celui du pessimiste qui dit : Je croirai quand je le verrai ou de l’optimiste que dit : Je le verrai quand je le croirai ?
Publié le mercredi 2 août 2017
L’été est parfois propice aux réflexions joyeuses voire aux envolées lyriques. En voici quelques-unes de personnages célèbres:
«La connaissance s’acquiert par l’expérience, tout le reste n’est que de l’information.»
~ Albert Einstein
«Face au monde qui change, il vaut mieux penser le changement que changer le pansement.»
~ Francis Blanche
«S’il est bon de ne rien dire avant de parler il est encore plus utile de réfléchir avant de penser.»
~ Pierre Dac
«Quand une idée est dans l’air, il faut se méfier.»
~ Alphonse Allais
«Une mauvaise expérience vaut mieux qu’un bon conseil.»
~ Paul Valéry
«Aujourd’hui on ne sait plus parler, parce qu’on ne sait plus écouter.»
~ Jules Renard
«Rien n’est stupide comme vaincre ; la vraie gloire est convaincre.»
~ Victor Hugo
«Dans la vie on ne fait pas ce que l’on veut mais on est responsable de ce que l’on est.»
~ Jean-paul Sartre
«On ne doit pas accorder sa confiance à quelqu’un qui ne sourit jamais.»
~ Henry de Montherlant
«Il y a quelque chose à dire en faveur de l’exception, pourvu qu’elle ne veuille jamais devenir la règle.»
~ Friedrich Nietzsche
Publié le mardi 4 juillet 2017
Les responsables de la digitalisation veulent changer le monde car, pensent-ils, l’information à leur disposition pourra leur permettre de mettre à plat les processus de réalisation. Utopie ou réalité imminente ? Alors que les robots faisaient peur aux cols bleus, ce sont aujourd’hui les métiers de médecins, banquiers et assureurs, pour ne prendre que quelques exemple,s qui voient leurs activités totalement bouleversées par la digitalisation du savoir.
Aujourd’hui dans la plupart des métiers, et ceux liés à l’amélioration de la qualité ne font pas exception, lorsqu’il s’agit de résoudre un problème ou de répondre à une question, trois pistes sont habituellement utilisées :
Finalement, quelle place restera-t-il encore pour le spécialiste soudainement mis en compétition avec un savoir universel à la portée des robots comme des humains ?
Si le savoir n’est plus forcément l’élément déterminant détenu par le spécialiste, on observe que ceux-ci développent leurs capacités à tenir des rôles particuliers pour résoudre des problèmes. Cela explique l’explosion des travailleurs indépendants. Deviendront-ils tous des facilitateurs, des coaches, des motivateurs, ou des organisateurs ? L’avenir le dira.
Publié le mardi 6 juin 2017
Manifestement pas. La plupart des personnes apprennent mieux si elles ont la possibilité de changer leur environnement d’apprentissage. Plus les environnements diffèrent, mieux on apprend. Cette situation s’explique par le fait qu’en quittant sa « zone de confort » la mémoire retiendra mieux les éléments à apprendre. Ainsi la connaissance deviendra indépendante de l’environnement contextuel dans lequel s’est déroulé l’apprentissage. Il est donc tout à fait profitable d’utiliser son laptop dans un café, un avion, un hôtel, à la maison, etc. afin de changer l’environnement dans lequel on se trouve. De la même manière, changer les heures d’apprentissage est aussi profitable. Finalement, plus les environnements sont différents, plus le cerveau sera capable de retenir les informations essentielles.
L’infrastructure pédagogique offerte par ARIAQ tient compte de ces phénomènes d’apprentissage. Pour cette raison, nos formations se déroulent parfois en entreprise, en salle blanche ou dans des salles aménagées très différemment en fonction des objectifs pédagogiques à atteindre.